Qu’est-ce qui fait sens ?

J’aime que les choses fassent sens pour moi ou bien capter le sens des choses… Samedi 12 Août, j’étais à l’ouvrage dans le foyer de vie- maison de retraite jusqu’à plus de 21h.

Rentrée chez moi, je choisis de visionner netflix – ce que je ne fais pas souvent.

La page s’ouvre sur l’annonce d’une série dont le thème est (de mémoire) : un laboratoire de big pharma crée un document anti-douleur (super efficace) avec un super marketing sexy mais surtout créant une super dépendance – je crois qu’il contient de l’opium… Tout le monde se l’arrache jusqu’au moment où il y a une rupture de stock… Pour la suite, je ne sais pas, je n’ai pas visionné… {Oh Shit !!! En voulant faire une capture d’écran du film « Pain Killer » sur Netflix pour vous écrire, la série démarre et annonce que le programme est basé sur des faits réels même si l’histoire a été romancée…}

J’avais choisi de visionner Paradise, science-fiction, où il est possible de transférer du temps de vie d’un donneur à un receveur compatible dont le corps va donc rajeunir… Le donneur donne des années de vie et vieillit d’autant et reçoit beaucoup d’argent en échange … dans le film, cela va jusqu’au vol des années … (bref, il fallait bien du suspense… ).

Réflexions

Les réflexions posées par ces fictions sont intéressantes, non ? Juste comme si elles étaient des effets grossissants de loupe (déformants ? pas déformants) questions qui existe existentielles : vieillir, souffrir, et bien sûr mourir…

Question qui se pose le matin, quand je suis à l’œuvre comme aide-soignante et qu’un résident refuse d’éteindre la télé durant la toilette : je découvre le téléachat, les crèmes anti-âge et et les trucs anti-douleurs…

Agir ?

La vie me fait découvrir des superpatchs (focus, sommeil, douleurs, poids…)

L’eau de la Fontaine Kangen (filtre-ioniseur) que je distribue va avoir des retentissements sur le vieillissement cellulaire…

Alors, ne plus avoir mal (masquer la douleur) ou capter le message de son corps ?

Accepter de vieillir ou se dire que le vieillissement n’est pas si naturel que cela et que si on le laissait faire, notre corps serait conçu pour se régénérer ? Ou juste vouloir vieillir bien ? Ou pallier aux « attaques » que subit le corps ? (Nous baignons quand même dans un bain où notre corps est bien sollicité : pollutions sonores, respiratoires, informationnelles, stress, nourriture méga-transformée, ondes… et j’en oublie sans doute…)

Soyons honnête ! Si on pose la question à quelqu’un « Tu préfères vivre jeune, en bonne santé, sans avoir mal ou vieux, souffrant et malade ? », je ne vois pas qui va choisir la deuxième option…

La différence

Qu’est-ce qui va faire la différence entre choisir la pilule magique, le superpatch, l’eau qui permet à son corps de se régénérer ?

Deux choses me viennent à l’esprit quand je pose cette question :

La posture (à partir de quel espace intérieur ?). Et cela me rappelle des conversations que j’ai eu avec mon ami Olivier Neveu (Merci à lui !)

La question est peut-être alors « Est-ce que je reçois l’information et la transmute ou bien est-ce que je cherche à éviter ? » Je remets ici les trois conversations que nous avons eues.

Le prix à payer. C’est mon ami Philippe Bamy que j’ai entendu évoquer cela. (Merci à lui !)

C’est peut-être de l’argent mais c’est peut-être autre chose. La liberté si on devient dépendant. La vente de son « âme au diable » ou la perte de sa pureté et de sa beauté intérieure si le choix de jeune, en bonne santé et sans souffrance nous amenait à de drôles de choix et comportements…

Et j’imagine que face à ces deux aspects, une fois encore, la vie est mouvement et nous invite à ce déséquilibre nécessaire pour avancer, le déséquilibre que doit expérimenter le bébé qui apprend à marcher ou le funambule qui marche sur son fil…

Qu’en dîtes-vous ? Comment ces questions résonnent-elles pour vous ?

Vos réflexions et points de vue sont bienvenus !

Pour avoir des informations sur les superpatchs, me contacter. Je ne les ai pas encore expérimentés mais commandés et j’ai des informations grâce à Marie-Pierre Jouzier.

Et pour moi la question de la posture et du prix à payer sont fondamentales.

Pour la fontaine, je confirme que je préfère cent mille fois ma vie avec et que soutenir mon corps avec différentes eaux fait un milliard de fois plus sens pour moi que lui répondre « pilule magique (avec effets indésirables) » quand il me parle… Questions, envie d’échanger ? Contactez-moi !

Samedi 19 Août à Paris, William Djoko Messomo, qui témoignait il y a quelques jours, présente la fontaine avec Florence Droit !

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