Réponse à une question

« Du coup, est-ce que tu prends toujours les molécules de l’Asea ? » 

Suite à mes dernières réflexions sur « Vieillir et souffrir ou bien ? », Virginie m’a posé cette question : « Du coup, est-ce que tu prends toujours les molécules de l’Asea ? »

Et j’ai eu l’élan d’une réponse à toutes celles et ceux qui me suivent, d’où cet article. 

J’ai rencontré Asea et les molécules de signalisation Redox en 2018. J’ai trouvé fabuleux de découvrir la science derrière cette prouesse scientifique consistant à savoir fabriquer en dehors du corps des molécules que le corps fabrique. Ou plutôt que les mitochondries fabriquent, notamment, lors de la respiration cellulaire et le cycle de Krebs.

Ces molécules que les médecins considéraient comme un déchet de la respiration cellulaire dévoilent peu à peu depuis quelques décennies leur rôle fondamental dans la détection des cellules endommagées et surtout dans la signalisation et leur communication entre cellules.

Bref, l’intelligence de nos corps en action dans l’infiniment petit. 

Comme je l’évoque dans la vidéo ci-dessous, cela fait 25 ans maintenant qu’un congrès de chercheurs passionnés de l’importance de ces molécules se tient à Paris. 

https://www.redox-medicine.com/ 

Ce que sont les molécules Redox : http://www.theredoxdoc.com/fr/rsm-what-are-they/

 

Je n’ai pas bien compris si les savants qui participent au congrès de Paris savent que nous connaissons maintenant le moyen de créer ces molécules en dehors du corps à partir d’eau et de sel.

C’est seulement depuis que j’ai découvert l’eau Kangen que je me dis qu’Asea fabrique les molécules par électrolyse. Je savais depuis longtemps que beaucoup de personnes arrivaient à créer les molécules. Ce qu’Asea a fait, grâce à Gary Samuelson, et que personne d’autre n’a réalisé jusqu’à présent, c’est sélectionner certaines de molécules et les stabiliser. Il aura fallu 17 années au Dr Samuelson et à ses équipes pour réaliser cet exploit et permettre aux habitants de la planète d’offrir plus des molécules Redox à leur corps qui n’en produit pas toujours assez selon les circonstances et de moins en moins à partir de la puberté.

 

Pour répondre à la question de Virginie : « Non, aujourd’hui, je ne consomme pas d’Asea. »

D’abord, parce que mon corps n’a plus d’élan vers les molécules.

Et c’est le cas, d’après moi, car il trouve ce dont il a besoin dans l’eau ionisée que je consomme au quotidien. D’autant plus que je « joue » avec les différents pH. Je panache les eaux bues dans la journée et donc, je dois couvrir les besoins de mon corps en molécules Redox.

 

Par ailleurs, ce que fait l’eau Kangen et que ne fait pas l’Asea, c’est hydrater !

Je savais pour avoir fait quelques bilans d’impédancemétrie en 2021 que j’étais en légère déshydratation cellulaire en 2021 (alors que je buvais de l’eau chaude toute la journée et consommait de lAsea depuis 3 ans). Je n’ai pas refait de bilan d’impédancemétrie depuis que je bois de l’eau Kangen mais je connais son pouvoir d’hydratation, alors, j’ai confiance…

 

Enfin, financièrement, avec Asea, l’achat est mensuel avec un budget conséquent pour une personne seule et en bonne santé. 

J’ai calculé qu’en 3 ans, cette consommation équivaut au budget d’une fontaine Kangen, qui elle, va offrir de l’eau ionisée, hyper-hydratante, pour toute les famille, y compris les animaux et les plantes (plus le ménage de la maison) pendant au moins 20-25 ans (il n’y a pas d’obsolescence programmée sur ces ioniseurs).

 

Voili, voilà… 

Ce dimanche soir, il y a une présentation de la fontaine Kangen dans son environnement, à savoir, les possibilités professionnelles offertes par la société Enagic. 

Au plaisir de vous retrouver en ligne !



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