Influencer, c’est bien ou mal ?

Influencer, manipuler, c’est bien ou mal ? 

Je veux dire, influencer les choix de l’autre. Les manipuler mais c’est parce que tu sais que c’est pour son bien.

Tu vas rencontrer des gens qui vont te dire : mais c’est bien, puisque c’est pour leur bien ! Tu vas peut-être même rencontrer des gens qui vont te dire : mais c’est bien parce que c’est pour le bien de l’humanité !

 

En vérité, je me demande s’il nous arrive de faire des choix autrement que parce qu’on a été influencés ? 

Ce serait quoi un tel choix ? Ce serait répondre à l’élan de la vie qui pousse peut-être. Comme le germe d’une graine qui ne peut faire autrement que croître et aller vers la lumière. 

L’élan de vie de la graine

La graine va germer. C’est son job de graine si elle est vivante. 

En même temps, toi, moi, nous pouvons manipuler les circonstances de cette germination. Nous pouvons la retarder, en gardant la graine dans un endroit sombre et sec pendant des années. 

Nous pouvons l’accélérer, en lui donnant de l’humidité. 

Imagine, nous pouvons lui faire croire que le printemps va arriver même si nous sommes en automne en la mettant dans le réfrigérateur quelque temps, puis, en la sortant. !

Enfin, nous pouvons lui offrir le meilleur environnement en lui offrant de l’eau ionisée (mon dada, l’eau ionisée – attention, je suis en train de te manipuler là…)

 

Tu t’es déjà demandé ce que deviendrait l’humain s’il n’était pas influencé ? Il créerait quoi l’élan de vie chez l’homme s’il n’y avait rien qui ne vienne le « tutorer ».

 L’élan de vie chez le petit de l’homme

Il m’a semblé que je pouvais observer un peu cela à la naissance de mon troisième enfant.

Quand il est né, il y avait déjà 2 enfants à la maison. Un garçon de 5 ans et une fille de 3 ans.

Quand il a eu un mois, son frère et sa sœur ont commencé à aller à l’école, quatre jours par semaine. La vie était rythmée comme cela. C’était le mois de Septembre, la rentrée.

Je n’ai pas beaucoup de souvenirs de cette période là. 

Par contre, au printemps, sa sœur a commencé à ne plus vouloir y aller, à l’école – oups ! Sujet sensible ! (Je ne sais pas si tu as lu la fois où je parlais de l’expérience de son grand frère avec cette institution

 

Il faut dire qu’elle adorait l’école ! Le matin, elle se réveillait et elle était tellement pressée qu’elle s’habillait et hop ! Elle était prête à partir, en manteau, devant l’ascenseur ! (D’ailleurs, ça a créé des drames à la maison autour du petit déjeuner – il faut que je revienne en parler);

 

Et ce matin-là, tout à coup, je la vois livide dans le couloir de l’école à l’idée que je vais la laisser dans la classe. Blanche comme un linge. Elle a trois ans et demi et elle a perdu toutes ses couleurs. 

Pour moi, cela ne fait aucun doute qu’elle revient avec moi (avec nous parce qu’il y a son petit frère) à la maison. Nous étions-là, ce jour-là, juste pour accompagner son grand-frère.

 Trois ans d’instruction en famille

Cet événement a été l’élément déclencheur de trois années d’instruction en famille pour les 3 enfants. Et c’est là où je veux en venir !

Entre les 1 ans de Loup et ses 4 ans, je les ai accompagnés à grandir. 

Bien sûr, les plus grands avaient un « programme scolaire ». Un suivi (lointain mais bien réel) par l’inspection d’Académie.

Loup, lui, avait juste à grandir. L’élan de vie. Bien sûr, sans doute que j’étais importante (je l’allaitais, je le portais, j’étais à l’écoute des besoin de faire « pipi/caca » j’étais là quoi, il pouvait puiser quelques ressources…) mais vraiment, je ne comptais pas !!! Il n’avait d’yeux que pour son frère et sa sœur !! Et qu’une envie, faire tout comme eux !! 

Il a arrêté de faire la sieste à 6 mois parce qu’il ne voulait pas manquer une miette de la journée de ses aînés. 

Et il n’avait qu’une envie, c’était apprendre pour tout savoir comme eux.

Et puis, tout a changé

Quand il a eu 4 ans, les trois enfants ont pris/repris le chemin de l’école. Je me souviens de ce matin-là.

 

À partir de ce moment-là, je ne peux plus dire que je pouvais observer ce que créait l’élan de vie chez ce petit immense magnifique être (parole de maman !). À partir de ce moment-là, j’ai pu commencer à observer ce qui se passait quand cet élan était « canalisé », « tutoré », je ne vais pas dire « empêché », ce ne serait pas gentil pour les enseignants et je ne veux pas leur faire de procès, parce que la grande majorité fait de son mieux avec la meilleure intention…

 

Mais font-ils autre chose que vouloir influencer nos enfants à faire et aller vers ce qu’ils pensent qui est bon pour eux, de la manière dont on leur dit que c’est la bonne manière (la bonne méthode de lecture, c’est laquelle ?), au moment où on leur a dit que c’est le bon moment ? Comment pourraient-ils d’ailleurs, juste accompagner l’élan de vie chez 15, 20, 30 jeunes êtres en même temps ? 

Je sais, c’est l’élan, parfois dans certaines écoles. Tiens, d’ailleurs, cela me fait penser à mon amie Julie Debord qui crée un collège différent à Paris ! https://eim-lab.com/

 

Et toi, tu crois qu’on fait des choix sans être influencé ? 

On bouge ensemble ? 

Rejoins mon groupe  Aimer Vivre et Vivre pour Aimer ! Ou le groupe Ton MLM Autrement

Whatsapp : https://wa.me/+33665962575

#aimervivre

#vivrepouraimer

#influence

#MLM

#marketingderéseau

#eau

#intelligencecollective

#coaching

#prospérité

#abondancefinancière

;

Dyslexie, dys-orthographie, dys-calculie, mémoire…

Découvrir le phosphénisme smile

>

 RECEVOIR MES SECRETS VITALITÉ PAR MAIL