Pourquoi ça ne pouvait pas marcher !

Hier, j’ai écrit sur l’idée : « Nul n’est prophète en son pays. » Vous pouvez lire l’article  ici

J’évoquais, à demi-mots, que je m’étais « fâchée » avec ma famille après que des produits distribués en marketing de réseau soient arrivés dans ma vie…

Je dramatise peut-être avec  «  fâchée » (il faut bien que j’accroche votre intérêt, cher lecteur, lectrice 😉 ). Disons, que cela crée des froids, des silences, des sujets dont il ne faut pas parler… 

Ce serait tellement plus simple d’avoir toujours ce métier d’infirmière et de pouvoir me plaindre des collègues, des supérieurs, des conditions de travail… Pardon, j’exagère !

 

Avec les différentes technologies distribuées en marketing de réseau, je me suis trouvée dans la situation de vouloir dire : « Hey ! Regardez ! Peut-être qu’autre chose est possible !  »

Pourquoi c’était compliqué ?

Et il y a deux points qui rendaient cela délicat pour moi !

Premier point : les possibilités que je connais concernent le corps et sa vitalité. Et, normalement, aujourd’hui, tout le monde a compris que seuls les médecins ont les connaissances et les compétences pour TOUT ce qui touche ce domaine !

Les infirmières elles-mêmes ne sont que des exécutrices. Et les patients aussi se contentent d’obéir. 

 

Alors, Tekla, peut-être que tu as appris des choses concernant les cellules, et surtout leur environnement, et sur ce qui leur permet d’être le mieux oxygénées, le mieux nettoyées et donc de se régénérer le mieux, mais ça, comment tu en parles, comment tu l’expliques ? Comment tu dis ce que ça fait ? As-tu vraiment le droit ? 

 

Deuxième point : le conflit (intérieur) d’intérêt. 

Voici ce qui est mis en avant quand on rejoint un marketing de réseau : « Tout le monde fait de la recommandation !  Tu vas manger dans un restaurant que tu aimes bien, tu lis un livre qui t’inspire, tu as adoré un film, tu en parles à tes amis… Et pourquoi tu ne serais pas payé(e) pour ça ? »

L’idée est donc de faire en étant payé, ce que l’on fait naturellement… Et c’est peut-être en partie vrai, mais peut-être pas complètement…

Un nouvel angle de vue

La question qui se pose alors est : si je n’étais pas payée pour parler de cela et pour accompagner, est-ce que je le ferais ? 

Tu vois, t’avoir écrit hier (oui, toi lectrice, lecteur), m’a fait passer à l’action sur quelque chose que je différais depuis plusieurs mois. 

Oui, plusieurs mois. J’avais appris que les enfants d’une de mes cousines ont des soucis de santé vraiment invalidants. 

Et cela fait des mois que je me dis qu’il faudrait vraiment qu’elle ait l’information de cette solution d’hydratation et bien au-delà. 

Mais que je ne le faisais pas. Parce que je ne suis pas médecin. (ie : je n’ai pas l’autorité). Parce qu’il pourrait y avoir ce conflit d’intérêt. ( « Hey ! Tu n’as pas honte de recevoir de l’argent en apportant quelque chose qui fait du bien à des gens de ta famille ?????? »)

 

Alors aujourd’hui, je me suis demandé : dans sa situation, est-ce que je préfèrerais avoir l’information ou ne pas avoir l’information des possibilités ? 

Ok, moi, je préfèrerais mille fois avoir l’information !!

C’est bon ! Mail envoyé ! 

Fini pour aujourd’hui tous les blablas mentaux qui empêchent de passer à l’action !!

 

Et maintenant, je suis curieuse !

C’est comment pour vous de parler à vos proches de solutions et de possibilités ? En étant payé et sans être payé ?

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Dyslexie, dys-orthographie, dys-calculie, mémoire…

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