Un jeu à somme non nulle

Nous avons souvent été éduqués à regarder le monde et chaque chose comme un camembert à se partager. Ce que l’un a, l’autre ne peut l’avoir. Il y a forcément un gagnant et un perdant.
Pourtant, une autre vision a fait son apparition. Il est courant aujourd’hui de trouver des jeux coopératifs dans les magasins de jouets pour les enfants (et pour les plus grands !)
Il est possible de regarder le monde autrement !

QUAND TOUT PROFITE À TOUT LE MONDE

« Les situations d’affaires, la vie politique ou le dilemme du prisonnier sont des jeux à somme non-nulle car certaines issues sont globalement plus profitables pour tous, ou plus dommageables pour tous. On a commencé historiquement par étudier les jeux à somme nulle, plus simples.

Au-delà de la matière-énergie avec la loi de la conservation de la somme algébrique nulle, le jeu à somme non-nulle est concevable, dans lequel le gain de l’un peut profiter à l’autre. Tel est le cas avec l’information, la communication et l’apprentissage où l’information est une des trois composantes fondamentales avec la matière et l’énergie.

L’exemple illustratif le plus simple est l’information génétique de l’ADN transcrite sur l’ARN pour être « lue », « traduite » et organiser la matière et l’énergie biologiques.

En sciences sociales, on cite parfois l’idéologie d’harmonie industrielle du Japon moderne (coalition tripartite capital-travail-gouvernement) comme exemple de jeu à somme non nulle.

Dans le commerce international, l’exemple de ce jeu à somme non nulle est la concurrence coopérative des Tigres asiatiques et Dragons asiatiques où le gain de l’un profite aux autre, dans la foulée du miracle japonais des années 1950-1960 qui a ouvert les portes à la Corée, à Hong Kong, à Singapour, à Taiwan et au Viêt Nam, dans une coévolution technico-commerciale. » Source https://www.techno-science.net/definition/6426.html

CONCRÈTEMENT, QU’EST-CE QUE CELA VEUT DIRE ?

Concrètement, c’est avec cette vision gagnant/gagnant/gagnant que la société Enagic par exemple, a fait le choix de distribution de la fontaine Kangen.

On ne part plus d’un prix de production du produit et d’un choix de prix au final pour l’acheteur (plus ou moins variable) avec la différence entre les deux qui doit être partagée entre tous les acteurs et les intermédiaires. Et comme ils doivent tous avoir une marge, on se doute que le prix de base doit être multiplié par …

Mais ici, il y a toujours un coût de production. Par contre, cette fois, le produit va être vendu et expédié directement par la société.

Il n’y a plus d’intermédiaires, il n’y a plus des dizaines de transporteurs, il n’y a plus de zones de stockage, il n’y a plus de publicité et le premier gagnant est bien le client qui paie un prix au plus juste : coût de production, rémunération juste de la société et commissionnement juste des distributeurs (qui font découvrir le produit et accompagnent l’achat et la mise en place).

Le client, partout dans le monde paiera le même prix. (avec des variations selon les taxes des pays).

J’ai évoqué les deux autres gagnants :

– la société Enagic elle-même qui se rémunère de façon juste et équitable et de manière à pouvoir soutenir sa croissance

– les distributeurs qui ont la chance de bénéficier d’un plan de commissionnement généreux. (Me contacter pour demander plus de renseignements sur ce plan de compensation)

DANS LA VIDÉO CI-DESSOUS, UNE POSSIBILITÉ FINANCIÈRE

GAGNER ALORS QUE L’ON N’A MÊME PAS INVESTI ?

ASSISTER  EN LIGNE À UNE PRÉSENTATION DE L’EAU KANGEN

Mardi à 20h
heure de Paris
Dimanche à 20h,                
heure de Paris
Dimanche à 21h,                    
heure de Paris

 RECEVOIR LES NOUVEAUTÉS PAR MAIL